L'histoire de Sweet Marmalade ~

~ Histoire de Sweet Marmalade ~

En Octobre 1907 est née madame Henriette Andrews-Nichols, à Chester en Grande Bretagne. Fille unique et riche héritière d'une famille à l'époque déjà fortunée grâce à des magasins de textiles déjà très appréciées chez les riches bourgeoises Anglaises. Celle-çi est tout de suite une jeune femme qu'apprécie les arts venant de continent différent, plus particulièrement pour l'Asie. Elle y déménage en 1947 lorsque ses parents décédèrent tout deux lors qu'un accident, arrivant dans la ville d'Okinawa au Japon. Tout de suite attachée à ses cultures ancestrale, mariée à un riche diplomate Japonais, monsieur Shôji Takahashi, elle s'en alla par la suite retrouvée sa terre natale, l'Angleterre où elle y éleva son seul et unique enfant, une jeune fille charmante et très bien élevée qui tout comme sa mère s'intéressait plus aux cultures asiatiques qu'à la sienne, et qui elle se maria avec un franco-japonais, Daniel Ueno.

Par la suite Henriette décida de fonder deux pensionnats dont un qui serait à Chester en Angleterre accueillant les gens venants de familles bourgeoises et qui serait gérée par sa fille comme celle-ci avait pour projet de retourner sur le continent Britannique. Le second pensionnats qu'elle voulait faire allait se situer en Asie plus précisément au Japon sur les côtes d'Okinawa pour accueillir les jeunes et les personnes ayants des problèmes d'argents ou qui vivent à la rue parfois rejetés par leurs parents ou tout simplement changer de vie en étant dans ce pensionnat à la fois chic et simple, offrant de nouveaux horizons aux arrivants.
La pension ce trouve au bord de la mer, les chambres donnent très souvent soit sur le jardin, soit sur la mer. Quand on y regarde assez avec des jumelles, on peut y apercevoir des baleines avec leurs bébés lors de la saison aux baleines.
Le pensionnat est meublé et construit à la façon japonaise, des représentations ornes les murs de dessins somptueux, les chambres sont elles toujours très "japonaise".

C'est une grande maison qu'accueillent les jeunes gens en difficultés, ils ont la chance d'être libre et autonome, le réfectoire ? Il y en a pas, c'est une cuisine où tout le monde peut aller se préparer à manger quand il le veut. Les magasins se trouvent à 5 kilomètres plus loin, cette maison n'est pas un pensionnat qui enfermes les gens, non, au contraire. C'est une grande maison qui donnent la chance à ceux qu'ont pas énormément d'argent de payer bas prix tout en pouvant faire leur études dans l'université qui se trouvent à 30 minutes de là.

Madame Henriette est désormais âgée de 68 ans, elle est décédée il y a maintenant 6 mois. Les pensionnaires sont peut-être libre, mais ils n'ont pas le droit à certaines choses. Les règles y sont tout de même assez stricte, comme, les garçons ne doivent pas dormir dans les chambres de filles et inversement, les salles de bains de même.
Une ambiance apaisante ainsi qu'harmonieuse régnaient sur le pensionnat offrant aux pensionnaires qui y vivaient un train de vie quotidien aisé et agréable pour qu'ils oublient leurs problèmes et recommencent à vivre comme tout autres personnes.
Hanriette était fière de ce qu'elle avait fait, elle avait toujours rêvée de bâtir un pensionnat comme celui-ci ainsi qu'aider les personnes dans le besoin en leurs offrants un endroit ou vivre et s'épanouir.

Le pensionnat a été donné à Sayuri Ueno, son unique petite fille. Et a un jeune homme, Akira Daisuke ami d'enfance de Sayuri, celui-ci s'est vu être le futur propriétaire avec son amie car Hanriette l'avait receuillis chez elle quand il s'était fait jeté de chez lui, elle l'a pris comme son petit fils. Mais ils hériterons légalement le pensionnat à l'âge de 21 ans, ils ne gérent pas vraiment tout le pensionnat car la mère de Sayuri, Keïko, les aident même si on ne la voit jamais.

Dés à présent le pensionnat ouvre ses portes pour accueillir les personnes dans le besoin et leurs refaire découvrir les joies de la vie.

> Pour vous faire une idée du pensionnat. Il est proche question décoration au pensionnat du manga Love Hina ou Maison Ikkoku (alias Juliette je t'aime). Alors, toutes architectures ou descriptions "futuriste" et très moderne ne sont pas a retenir.