¤ Prénom & Nom : Nina Shindo
¤ Age : 20 ans [x]
¤ Nationalité : Anglaise et japonaise, pour le moment.
¤ Sexualité : bisexuel(le)
¤ Famille :
Sa mère Linda Walk a été assassinée sous ses yeux alors qu'elle n'était encore qu'une enfant. Leur amour semblait être quasi inexistant. La jeune mère était d'origine anglaise et de caractère plus que suceptible et fragile. Elle ne supportait pas le fait qu'un échec tel qu'une perte d'emploi puisse lui arriver, sinon pour elle, tout s'écroulait.
Son père, Daisuke lee, était japonais et avait rencontré sa mère dans un fast food, alors qu'elle était partie en voyage d'affaires au Japon. Ce fut le coup de foudre immédiat, et trois mois plus tard, il emménageaient ensemble. C'est une personne responsable et affectueuse. Il a cependant, coupé les ponts avec sa fille depuis la mort de Linda.
¤ Caractère : 8 lignes minimum
Elle ne connait pas tout, car personne n'a jamais prit le temps de lui apprendre, ou du moins, n'y a pas prêté la moindre attention. C'est une jeune fille qui aime faire la fête, et se trouve quelque fois à la limite de la débauche. Elle ne supporte pas les jeuens filles niaises qui passent leur temps à gémir. . .Froide, mystèrieusement froide. D'un naturel distant et poli, Nina est quelqu'un à qui il ne faut pas s'attacher. Elle voit plus le côté philosophyque que réel, mais est souvent sur la lune. une personne posée et solitaire. Elle est également une excellente co-équipière. Elle reste gamine, suceptible et mélancolique. Créative et très originale, elle apprécie construire de ses propres mains. Elle préfère la nuit au jour, la lune au soleil, et est bagareuse. Elle peut tout de même être sympathique selon l'état d'esprit des autres. . .
¤ Physique :
Jeune fille plutôt mignone dans son genre, dégageant un sentiment d'insolence. Elle fait à peu près un mètre cinquante cinq, et même si elle est plutôt petite, on peut distinguerà travers chaque traits de son visage, une maturité incomparable.Sa démarche est calme et posée. Une pointe de philosophie est toujours cachée dans sa façon de s'habiller, un petit clin d'oeil... Sa morphologie est squelettique, sa charmante allure gothique,et elle possède toujours un crusifix sur elle. On n'a pas souvent l'habitude de la voir énervée, mais lorsque la colère l'envahit, mieux vaut ne pas se trouver porche d'elle. . .Mais c'est un conseil, rien de plus, àprès tout, ce choix est votre.
Cependant, elle garde un incroyable agressivité qu'elle préfère conserver, nul n'en connait la raison.
¤ Histoire :
Jusqu'à 3 ans sa vie est merveilleuse et elle éprouve une passion inée pour la peinture et la musique, plus précisément le piano et est attirée par l'orgue. Tout s'arrête la veille de son quatrième aniversaire, en fin d'après midi, juste avant qu'elle ne rentre de ses cours particuliers. Sa mère, seule chez eux, se fait licencié et commence donc à sombrerdans la drogue, boire, à être violente avec la fillette. Cette dernière, n'en puit plus et finit par franchir le seuil de son habitat, ce seuil désormais taché d'un sang devenu marron et écaillé par le temps, ayant pour seule cause les coups de fouets les plus violents, chaque soir éxécutés, sous l'indifférence même d'un père ivrogne et autre fois pourtant si droit. Daisuke, se reprend un jour et remarque le talent de sa fille, et recommence à l'éduquer comme si de rien n'était et continue de négocier les prix des cours de sa projéniture en se vendant son corps aux professeurs. Ces enseignements sont désormais les seules vonlontés de la jeune demoiselle, ses seules raisons de vivres. A partir de là, l'on découvre que Yukina acoît son talent et qu'elle pourra plus que certainement réussir sa vie soit dans l'art, soit dans le chant et la musique. Malgré cette agréable nouvelle, la petite fille ne parvient pas à améliorer ses relations parentales qui entraîne de séjours hospitaliers et qui finissent d'ailleurs à aboutir par une séparation rude et douloureuse.
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Son père tente tant bien que mal d'obtenir la garde de sa fille, mais en vain. La mère est donc la responsable légale, et dégrade de plus en plus sa vie et celle de son enfant de manière absolument absurdes et traumatisantes. Les séquels psychologiques se retranscrivent dans les oeuvres de la jeune prodige. . .Elle vend à de plus hauts prix ses peintures et esquisses afin de réussir sa deuxième fugue longuement envisagée et organisée avec ingéniosité.
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A partir de là, plus rien. Nina a tout oublié. Sauf Deux choses: Sa cousine, et son accident.
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Sa vie à partir de là va être éffacée, disparue . Rien qu'un ramassis de souvenirs. Tout le reste est dons perdu en elle, dans une fibre écartée de son coeur, qu'elle n'arrive pas à saisir. Le genre d'évènements où vous avez l'impression qu'on vous ôte la vie qualife extrêmement bien ce moment. . .
En fait, cet instant dont Nina se souvient et très flou et détaché, elle ne se rappelle que d'une pièce toute blanche, un hôpital peut être. Elle s'endort, son ourson Glooky sous le bras, comme nombre de petites filles le font tout les soirs, par habitude. Et puis, un chant d'oiseau, et . . .Un cri.
Un cri tranchant, effrayant et étranglé : La voix de sa mère. Terrorisée et sentant un frisson particulièrment fiévreux lui parcourir le dos, Nina se lève, réveillée par cet inquiétante alarme. Elle ouvre sa porte et aperçoit une immense et infinie flaque sang, qui envahit ses petits pieds nus. La fillette, écarquille de grands yeux et relève la tête. . . . Un cadavre . Celui d'une femme. Celui qui brise. Celui de sa pauvre et définitivement défunte mère. Elle hurle à son tour, elle se met à courrir, s'arrachant poignée par poignée les cheveux, ceux - ci qu'elle commence à haïr au plus porfond d'elle même. Elle se retrouve devant un large mirroir, on ne sait par quel moyen, mais cette glace est l'arme la plus écoeurante dans de pareils circonstances. Nina ne peut à présent s'empêcher de se détester, de se renier et finit par frapper de son poing si puissant pour une enfant, qu'il éclate le reflet en des milliards de morceaux et débrits. De ce coup violent, le corps de Ninas'afaiblit d'un seul coup, laissant ses genoux défaillir, ces genoux sur lesquels elle retombe. Ce geste la priva ainsi de sport à tout jamais, et quelque éclats finissent même par confisquer la si pertubée et frêle fillette d'un sens qui lui était particulièrement utile: sa vision.
---------------Coupure-------------------
Un beau jour, elle se réveille ici,Recouvrant son sens de la vue, et bien qu'elle tente de chercher, le mystère de son arrivée l'affecte beaucoup . . .
¤ Pensionnaire ou Surveillant : Pensionnaire, peintre et chanteuse dans les bars la nuit.
¤ Signes particuliers: Une petite dague dissimulée. . .