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Histoire : Douze coups de cloches … un né, deux morts … En Effet, c’est comme cela que c’est passée la naissance de Taizo … Ses parents étaient en route pour l’hôpital, étant pressés, de peur que la femme accouche dans l’automobile,et eurent un accident. Le père fut mort sur le coup, mais la femme survécue à l’accident. Les ambulances eurent heureusement le temps de la sauvée et l’emmenèrent a l’hôpital, là ou elle accoucha, et où elle mourra … Dix ans et demi passèrent après cet accidents tragique, dix ans, dans jamais avoir connu ses parents … Pendant dix ans, il était dans un orphelinat. Mais un jour … tout bascula dans sa vie … [Flash Back]
-Comme d’habitude, Taizo se levait et prenait ses affaires ainsi que sa trousse de toilette pour aller se laver. Il mit ses chaussons, assez chaud car il venait de la mettrent pour aller prendre son petit déjeuné. Il traversait le couloir qui menait de sa chambre à la salle de bain rapidement, car il n’aimait pas croisé les autre « orphelins » … En effet, des groupes s’étaient distingués dans cet établissement … Il y avait Le groupe des filles, le groupe des garçons et Lui. Il était tout seul, personne ne l’aimais, ils le trouvaient trop étrange …
Enfin arrivé dans la salle de bain, il se dévêtit et fit ce qu’il avait à faire. Mais après la douche, alors qu’il se sentait seul, il enfila son manteau et ses chaussures pour aller faire une petite virée dehors.
Ici, il se sentait bien, l’air était pur et il n’y avait pas tous ses bruits infernaux que faisaient les enfants. Il alla un peu plus loin, et il s’assit sur une pierre. De ce temps là, il n’avais pas le physique qu’il avait maintenant … Il faut dire qu’il a beaucoup changer en 10 ans. Assit sur cette pierre, il sentait le doux vent qui passait lentement sur son visage, et il repensait a lui. il se disais qu’il ne savais presque rien sur lui… * Où suis-je né ? Qui étais mes parents ?*… Tant de questions sans réponses. Il sombrait dans le néant total, mais un petit bruit le fit sursauter. C’était un gémissement de animal.
Il s’approcha prudamment de l’endroit d’où venais le gémissement, et il vit par horreur un petit renard blanc qui était pris au piège, c’est le cas de le dire, dans un piège a loup. Sa patte était coincée entre les lames tranchantes de celui-ci. Il se dépêchait de désactiver le piège, et il libéra enfin ce petit animal, à ses risques et périls. Il l’emmena alors dans sa chambre, ou il installa un niche, fabriquer en carton et avec un petit bout de sa couette.
Il s’était enfin trouver un ami, ils étaient deux maintenant… Il partageait la moitié de son déjeuner avec lui tellement il l’aimais… mais un jour, par malheur, il fit une erreur … il dit à une des filles orphelines, plus précisément « Pauline », l’existence de ce petit renard. il lui en avait parler pendant au moins une heure … il lui avait même dis où il était … Et c’est ça, l’erreur que il n’aurait pas du faire … En Effet, par un beau jour d’été, les garçons l’avaient pris au dépourvu, quand il allait dans sa chambre. Ils l’on poussé justement dans celle-ci et on fermés la porte a clé. Paniqué, des gouttes de sueur parcouraient son front. C’est alors qu’un des garçon le saisit par derrière et le ligota avec une solide corde, a un chaise. Un autre garçon, qui semblait être le chef, pris la parole :
-Alors Taizo, on fait toujours le malin ? Pauline nous a tout dis pour ton petit protégé … Dommage, il fallait tenir ta langue ! Faites entrer le sale clebs !
Le chef ouvrit le verrou et alors un des garçons qui faisait le guet, apporta le petit renard blanc et le donna a un autre garçon de la pièce. Le garçon qui avait emmené le renard retourna dehors et le chef re-verrouilla la porte.
C’est alors là qu’il fut choqué … Ils avaient touchés a son ami, le seul être qu’il aimait …
-Naaaan ! Vous n’avez pas le droit de faire ça ! Lâcher le tout de suite ! Bande de *bip* !
Le « chef » de la bande, s’approcha alors de Taizo avec un petit sourire sadique aux lèvres, et lui dit tout bas :
- SI j’ai le droit, mais si tu continues à parler ... Ton petit protégé ne va pas tarder à rejoindre tes parents.
C’est alors à ce moment ci que Taizo se rendit compte de la cruauté de ce garçon. Vraiment énervé, il lui donna un grand coup de pied dans le ventre, ce qui le fit tombé et saigner de la lèvre. Il se débâti de toute ses force mais les garçons l’avaient déjà sauter dessus pour le taper et le calmer, il avait comme même toucher leur chef. D’autre garçon aidaient leur chef à se relever, celui-ci, étant bouillant de rage. Il pris le renard sauvagement des mains du garçon qui le tenait, et le balança par terre de tout sa force. La rage hantait le cerveau de Taizo et des larmes commençaient à se balader sur son visage… de plus en plus de larmes … et c’est alors que le chef pris la lampe de chevet qui était poser sur sa table de nuit et pris la parole.
-Tu veux prendre à sa place ?
-…
-Nan ? Alors nous allons faire un petit jeu !
Il dit alors à tous ses partisans de faire une queue derrière le renard. Le premier de la queue était le chef et annonça :
-C’est partit !
Le chef de la bande donna un gros coup de lampe sur le petit renard, ce qui fit gicler du sang sur les murs, sur le pelage blanc de l’animal et sur la lampe. Le cœur du pauvre Taizo cria de douleur et de plus en plus de larmes coulaient sur ses joues, le renard, a moitié mort, gémissait de plus en plus, et on le tapais de plus en plus fort… il pleurait vraiment lorsque le renard ne bougeait plus et ne poussait plus de gémissement. Le chef questionna :
-Déjà ? Pff, ce n’est pas drôle …
Taizo lui dis alors :
-Vous n’avez, vous n’avez vraiment pas de cœur ! … Vraiment pas, pas de coeuur … PAAS DE COOOEUUR !
Saisit de haine, il donnai un coup de pied au garçon qui le tenais et, maintenant libre, je pris le couteau suisse que je gardais toujours précieusement dans ma poche. D’un geste vif, je plantai le couteau dans le corps d’un des garçons, et plus précisément, dans son cœur. Les autres garçons prirent peur et s’enfuirent en criant.
Après cette « scène », il pris délicatement le corps de son ami mort, en versant de petites larmes. Il couru dehors, sans même avoir pris le soin de prendre un manteau, il courait, courait, jusqu'à ce qu’il retrouve l’endroit, là où il l’a découvert, les larmes au yeux … cette fois, elles était plus grosse, tellement d’émotion …. En même temps … son seul… ami … mort ? …
C’était trop … il tomba à terre, son ami dans les mains, faible …
Deux heures et demie passèrent comme ça, et il pensa qu’il était tant de l’enterrer…Après avoir fait un grossier trou, il le mit dans la terre et pleura un dernier coup avant de l’enterrer définitivement. Il mit une petite pierre en guise de pierre tombale, et il s’en alla dans la forêt, loin de l’orphelinat.
[Fin Flash Back]
Il arriva alors dans une ville, où l’on l’adopta, heureusement. Sa famille adoptive était composée de deux parents, d’une sœur et d’un frère. Il se sentait bien dans cette petite famille qui était tout sauf banal. En effet, cette famille était tous sauf sérieuse coincé, L’on rigolait et l’on se disait tout, et c’est justement cela qui faisait tout son charme. Taizo était heureux dans cette famille, et cela était tout ce qui comptait pour lui. Grâce a cette famille, il était devenu joyeux et ouvert, voir romantique, alors que si il n’y serais pas aller, il serais encore sous le choque de la perte de son ami animal, grognon et fermé, et il n’oserais même pas adresser la parole a une fille avec son ancienne timidité.
Il devait donc tout a cette famille, qui avait changé tout sa vie … Son père adoptif lui a même appris à jouer de la guitare. Un plus qui devrait sûrement lui servir... Il avait déjà, 17 ans! C'était le jour de ses 18, quand il se levait le matin, où il se disait enfin : J'ai 18 ans! Il déposa son pied par terre. Le sol de sa chambre était en parquet, mais en le déposant, il sentait que ce matin, quelque chose allait mal se passer, comme un pressentiment.. Il se leva, et pris la direction de la salle de bain. Arrivé a celle-ci, il mis un pied sur le carrelage, qui fit parcourir un frisson dans tout son corps, il était glacial! Il marcha donc avec prudence, et vite, sur ce carrelage glacé, et dépêcha de se déshabiller pour aller dans la douche. Content d'avoir atteint son objectif, il tourna le robinet d'eau chaude, mais ce qu'il ne savait pas, c'était que l'eau était glacée! Il poussa un petit cri de surpris, envahit par le froid, et arrêta l'eau...¨Pourquoi il n'y avais plus de chauffage..? Sûrement un truc bête...
Il décida de se laver à l'eau froide. Pour lui, il était impossible de ne pas se laver, c'était primordial! Alors s'habituant à la froideur de l'eau, il pris une douche rapide, et se dépêcha d'y sortir! Forcement, la température de la pièce était plus chaude maintenant, vu qu'il avait été envahit d'une eau encore plus glaciale! Se séchant grâce à une serviette complètement sèche, il mis celle-ci autour de sa taille, et se dépêcha d’aller dans sa chambre, plus précisément dans son armoire, pour s’habiller. Il était maintenant prêt, et descendit en bas après s’être brossé les dents, sans faire de bruit, pour ne pas réveiller sa famille… Il était 8heure, on était dimanche. Taizo se levait toujours tôt, et était frais dés qu’il sortait de son lit, toujours prêt a l’aventure, a affronté la journée comme elle l’est… Mais il ne s’attendait pas a affronté une telle surprise, une surprise, qui, tout de suite, le choqua, et le fit pleuré, angoissé … En effet, il ne s’attendait pas à ça, mais il trouva ses parent adoptifs derrière le bar, tendu avec un gâteau d’anniversaire, Le tout bercé par une musique très joyeuse… Mais ce n’est pas cela qui choqua Taizo, c’était surtout les couteaux enfoncés dans le cou de ceux-ci, ainsi que les tracés de sang qui les suivait… En pleure, il regardait autour de lui, qui aurais pu faire ça, qui aurais pu tué encore une fois sa famille.. Qui ? Quand soudain, il vit sur la table, une feuille avec marqué dessus, avec du sang : Je suppose que eux non plus, tu ne voulais pas prendre leurs places.. ? » Il se souvint comme si cela était hier, le sale gamin qui avait prononcé ces mots…
- Citation :
- -Tu veux prendre à sa place ?
-…
-Nan ? Alors nous allons faire un petit jeu
Il chiffonna la feuille et la mis en boule d’un geste nerveux et la jeta violamment par terre. Il était haineux, ce garçon, tuait ! Il tuait tous ses proches, c’était des crimes ! Il était encore plus énervé quand soudain, il entendit les sirènes de la police… Il courut alors dans le jardin, comme un réflexe, et sauta par-dessus la barrière des voisins, et ainsi, parcouru tout les jardins pour d’enfuir, il ne savait où…
Il voulait retrouvé cet homme, et lui faire subir tout ce qu’il avait encouru ! 6 mois passèrent, et il s’était enlevé tout son passé de la tête, TOUT ! Pour lui, il était allé dans un orphelinat, il le quittait et alla dans une famille, il la quittait pour vivre seul, la routine ! Zéro morts, personne n’était mort, et il ne faisait comme si de rien n’était. Il ne se souvenait plus trop, à cause drogues que son médecin lui conseillait, pour oublier un peu son passé… Il avait oublié complètement ses parents adoptifs, morts, mais il se souvenait un peu, brièvement d’un renard blanc… EN tout cas, ce n’est pas ça qui le préoccupait ! Il était optimiste, blagueur, dragueur, et vivait dans campus, où il étudiait. Il était heureux, mais son prof de sport lui disait qu’il était nul, alors qu’il était de loin un des plus sportifs de tous les mecs de son campus ! Il se disait qu’il avait une dent contre lui, ou qu’il voulait le faire progressé… Un jour, le prof l’avait pris au dépourvut, devant tout le monde, et l’avait frappé par derrière. Taizo tomba et fit volte face. Bien sur, les rires de tout le monde se firent entendre, Taizo l’entendait mal, comme une moquerie, il l’entendait fort… Il ne pu s’empêcher de donné un énorme point dans la figure du professeur, qui riait au éclat. Maintenant allongé par terre, il était inconscient, heureusement. Les rires se mélangèrent à nouveau, mais cela, pour Taizo, étaient ceux de la victoire.
Il sourit, et dit dans le vide : Ah bah ça, ça fait du bien ! Taizo s’enfuit du cours, de toute façon, il allait se faire viré ! Il marcha lentement dans les couloirs, pensant à son avenir : Qu’allait-il faire.. ? Il marchait maintenant depuis quinze minutes, et il était dans le centre ville, assit sur un banc. Un homme était assit a coté de lui, un journal dans ses mains. Sourire au lèvre, il pensait a son avenir, mais son regard se détourna sur la feuille de papier, où était inscrit à l’encre noir : Pensionnat Sweet Marmalade. Trente minutes plus tard, alors qu’il était retourné dans son campus, et avait fait ses valises, il était déjà dans un train pour Okinawa, là où se trouvait se fameux pensionnat.
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Pensionnaire ou Surveillant : Pensionnaire.
¤ Signes particuliers: Il maîtrise la guitare, et à des tatouages sur les bras. [voir ava] Il se balade TOUT LE TEMPS avec son couteau suisse.PS : Les persos sur mon ava et ma signa ne sont pas les même, mais ils se ressemblent… C’est pas grave.. ? ^^ »
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